J’adore les femmes, je suis fière d’elles, fière de nous, fière de moi.

 

Quand je les regarde, je suis épatée par leurs styles et leurs allures. Voir en elle ce qu’elles aiment et mettent en valeur à travers leurs démarches ou leurs tenues m’émeut. Je m’amuse de cette nonchalance du « je n’ai pas eu le temps ce matin de dompter cette mèche rebelle ». Et je les entends me dire « je m’en fous, c’est comme ça, je n’ai pas eu le temps ». Je les trouve toutes belles car les petits défauts qu’elles essaient de dissimuler mais que l’on voit encore plus, m’émeuvent.

Les pas pressés du matin, les talons qui claquent encore plus vite à la sortie de l’école quand elles s’éloignent suscitent mon admiration. Leur courage, leur volonté et leur détermination m’épatent.

J’adore les mères fatiguées et désabusées qui vont chercher leurs enfants le soir et se pressent de rentrer car le plus dur de la journée commence souvent là. J’adore les mères au troquet du coin. Elles ont tout laisser pouvoir s’accorder un moment sans culpabilité mais un peu quand même!

Pour les femmes de ma génération et les autres aussi

Je suis fière des femmes de ma génération qui assument leur choix: celui de ne pas avoir d’enfants ou d’en avoir plein, celui de faire passer sa carrière avant sa famille ou non de faire passer sa famille avant son job. Je suis touchée par leur sensibilité et leurs forces, leurs capacités à parler de leurs émotions, à avouer que ça ne va pas. Mais je les aime encore plus quand elles craquent, quand, pendant un instant, elles posent leurs bagages et se laissent aller pour se ressaisir et repartir vaillantes.

J’admire leur capacité à vouloir faire mieux que leurs parents. En effet, nous écrivons une nouvelle histoire tous les jours. Nous choisissons la vie que nous voulons mener le plus souvent dans l’adversité. J’aime les employées modèles qui travaillent sans relâche, les entrepreneuses idéalistes qui rament et avancent.

Ainsi j’aime leur cœur de femmes, de mères, d’amoureuses, de passionnées, de cultivées, des ingrates, des colériques, des soulées.

Pour conclure, le XXI ème siècle est féminin. Il ne sera pas, il est déjà. Ce qui compte c’est le présent, l’histoire que nous écrivons au quotidien par la multitude de gestes que nous accomplissons envers nos enfants, nos amoureux ou amoureuses et surtout envers nous-mêmes.

 

Élargissons le champ des possibles, voyons grand et soyons encore plus fortes.

 

Investissez sur vous-même. Faites vous coacher!

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